
- Summary
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La partie italienne de la loi agraire de 111 avant J.-C. (lignes 1-42) mit fin aux bouleversements des réformes révolutionnaires des Gracques. L’auteur, qui avait précédemment étudié les lignes 43-95 consacrées à l’Afrique (PUFC 2015) d’un texte qu’il identifie comme une lex Baebia, soutient que le vectigal fut maintenu en Italie, que la privatisation n’est pas une propriété exclusive du bénéficiaire sur les terres conquises qui constituèrent l’ager publicus Populi Romani, que cette privatisation fut une possession soumise à certaines obligations de mise en valeur et que la propriété éminente de la Res Publica se maintint à travers les temps.
Malgré son extrême mutilation, la fin de l’inscription (lignes 95-105), permet d’établir que la terre de la cité de Corinthe détruite fut, sauf la partie concédée et assignée aux Sicyoniens, mesurée, bornée, puis mise en vente publiquement à Rome sous forme de petits lots.
- Contents
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Introduction
Texte, traduction, notes :
I. L’Italie
II. Corinthe
Index uerborum locutionumque Italiae
Index nominum Italiae
Index uerborum locutionumque Corinthi
Index nominum Corinthi
- Author (s)
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Jean PEYRASJean Peyras is honorary professor of universities, former professor and professor emeritus in roman history at the university of Nantes. He is an associate researcher of the Institute of Sciences and Technics of Antiquity (UR 4011).
- Readership
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Academics, researchers, epigraphists, jurists, historians, students.
- downloadable items
- Reviews and press reviews
- Support (s)
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Published with the support of the Institut des Sciences et Techniques de l’Antiquité (UR 4011).