Cent phrases pour éventails par Paul Claudel

Table des sigles 

Introduction

I. Le livre

Objet, métaphore matérielle 

(histoire des éditions du recueil)

Physique et métaphysique du livre, le rituel de la lecture 

(l'influence de mallarmé ; une lecture-réécriture ; un rituel de la communication). 

II. La lecture

Le spectacle de l' idée 

Écriture et calligraphie 

(un nécessaire compromis entre la plasticité et la lisibilité).

Vers l'idéogramme occidental 

(le problème de la motivation des signes ; l'« ergogramme »)

Le sensible et le sens

(l'espace et le pouvoir de figurer ; l'exemple d'« un coup de dés jamais n'abolira le hasard)

L'espace : la syntaxe et la rhétorique 

(l'établissement plastique des « rapports »)

L'espace : le temps 

(l'attention et l'attente : une libération sémantique)

L 'espace : la profération 

(la tension physique et psychique des mots)

L'espace : la prosodie

(le souffle et le nombre « tel qu'il empêche de compter »)

La thématique en jeu 

Le problème des sources

(l'alliance des circonstances japonaises et de l'univers claudélien ; imprégnation et participation)

L'abstraction par soustraction

(une écriture de décantation)

Une discursivité lacunaire

(les séries thématiques ; les variations sur un motif)

La double sollicitation rhétorique

(images matérielles et images spirituelles)

La ahite des choses

(la réduction du monde et de la parole au souffle ; le suspens et le sens du temps ; c.p.e.:. une entreprise d'auto-exégèse ?) 

Conclusion : l'encre, le sang, le sens

(un nouveau rapport au langage ?)

Une poétique totale 

(l'indéchirable unité de l'homme ; la motivation poétique)

L'hémorragie du sens : hommage à Sige ? 

(l'épanchement et le tarissement ; sens et silence)

Texte 

Établissement du texte

(histoire, classement et description des manuscrits)

Notes et commentaires

Annexe

(préface de 1942 ; document d'archives)