- Résumé
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Peu de Français savent ce que sont les Alpes Cottiennes et encore moins l’histoire du roi Cottius qui leur a donné son nom il y a plus de deux mille ans. Pourtant on aperçoit de loin cette ligne de crête qui barre l’horizon quand on la contemple depuis la terrasse de Fourvière à Lyon ou lorsqu’on roule sur les autoroutes de la plaine du Pô. Comment les Romains s’y sont-ils pris pour réussir, seuls dans l’histoire, à englober cette muraille dans leur Empire et pour tracer des routes ? Cet ouvrage répond à ces questions à partir des textes antiques, des Itinéraires routiers et de prospections de terrain sur le réseau romain du Mont-Genèvre. Ce dernier articulait, au sein de la province romaine des Alpes Cottiennes, la voie principale empruntant la vallée de la Durance et le Val de Suse et des itinéraires secondaires par les cols du Mont-Cenis, du Lautaret et de Larche.
- Sommaire
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Préface
Colette Jourdain-Annequin
Chapitre I : les éléments d’une enquête
Chapitre II : la route transalpine. Un enjeu capital dans l’histoire
Chapitre III : sur les routes des Alpes Cottiennes
Chapitre IV : les routes de la paix
Chapitre V : les routes de la guerre
Chapitre VI : le réseau routier des Alpes Cottiennes : état de la question et propositions nouvelles
Conclusion
Cartes
Liste des abréviations
Bibliographie
Index géographique
Liste des tableaux, des illustrations et des cartes
Table des matières
- Auteur(s)
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François ARTRUFrançois Artru, docteur en histoire et archéologie des mondes antiques, conduit une recherche sur les voies romaines des Alpes. Il a soutenu en 2012 une thèse sur : La circulation dans les Alpes à l’époque romaine : l’exemple des Alpes Cottiennes.
- Public
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Chercheurs intéressés par la circulation dans l’Empire romain ; étudiants dans ces disciplines – responsables Patrimoine et tourisme - habitants et visiteurs des vallées alpines.
- éléments téléchargeables
- Recensions et revues de presse
- Soutien(s)
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Publié avec le concours de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Antiquité (EA 4011 – université de Franche-Comté) ; de l’association « Coutumes et traditions de l’Oisans » et de la communauté des communes de l’Oisans.