- Résumé
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En complément d'un colloque précédent sur les limites de siècles, lieux de ruptures novatrices, celui-ci avait pour objet une interrogation a contrario sur les forces conservatrices et régressives qui marquent également les limites de siècles. L'objet du colloque était d'envisager dans quelle mesure les limites de siècles ont pu être marquées par la puissance des continuités. des fixations, voire des processus à dynamiques et rétrogrades.
Les communications se sont réparties en deux grands axes : l'un concerne l'histoire et l'histoire des idées et traite la Révolution française, le conservatisme religieux, les courants rétrogrades et les nationalismes ; le second concerne l'art et la littérature.
Cette division s'est avérée pertinente, car il apparaît que si les limites de siècles peuvent être des marqueurs en ce qui concerne l' histoire et l'histoire des idées, il n'en est rien dans le domaine de l'art et de la littérature qui s'avère beaucoup plus problématique. - Sommaire
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Les limites de siècles
Actes du colloque international organisé par le laboratoire Littérature et Histoire des pays de Langues Européennes à Besançon,les 27-28-29 mai 1999.
En 2 volumes
Sous la direction de Marita Gilli
Avant-propos
PREMIÈRE PARTIE : Histoire et histoire des idées
I-A : Révolution française
I-B : Le conservatisme religieux
I-C : Courants rétrogrades et conservateurs
I-D : Les nationalismes
DEUXIÈME PARTIE : Art et littérature
Joël Lefebvre, L'année 1500. La limite entre Moyen Âge et Renaissance ?
II-A : Musique, architecture, peinture, cinéma
II-B : Littérature
En guise de conclusion
Michel Fagard, La querelle du début de siècle (suite)
Synthèse des débats
Adresses des auteurs de communications et de rapports
Publications
- Auteur(s)
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Marita GILLI (éd.)
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